Une obligation de résultat pour le gouvernement

Prenons deux exemples.Un seul constat qui « parlera » à tous ceux qui ont l’obsession de la performance financière : « On fait plus d’argent par la confiance et l’autonomie que par le contrôle », martèle arnaud berreby dentiste .Son but était de mettre en exergue les opportunités d’investissement en Inde, tout en réduisant les barrières à l’entrée des investissements étrangers.Mais si, du côté de l’avenir, il n’y a que des possibilités ou des probabilités, que nous examinerons tout à l’heure, il n’en est pas de même pour le passé : les deux développements opposés que nous venons de signaler sont bien ceux d’une seule tendance originelle.Mais voilà précisément l’erreur.S’il est clair que l’Etat doit réduire son champ d’activités, il n’est vraiment pas facile d’établir des critères simples : l’efficacité des lois et de l’action publique devra être analysée, historiquement et sur la base de simulations pour leurs aspects futurs, de façon à fournir des alternatives claires.La quête de la rentabilité multiplie les incohérences et les inégalités.Il s’opérait donc, dans les profondeurs de ce moi, et au-dessous de ces arguments très raisonnablement juxtaposés, un bouillonnement et par là même une tension croissante de sentiments et d’idées, non point inconscients sans doute, mais auxquels nous ne voulions pas prendre garde.En revanche, la technologie derrière les monnaies virtuelles a de grandes chances de s’imposer dans les transactions financières à moyen terme.Pour notre science, le corps est essentiellement ce qu’il est pour le toucher ; il a une forme et une dimension déterminées, indépendantes de nous ; il occupe une certaine place dans l’espace et ne saurait en changer sans prendre le temps d’occuper une à une les positions intermédiaires ; l’image visuelle que nous en avons serait alors une apparence, dont il faudrait toujours corriger les variations en revenant à l’image tactile ; celle-ci serait la chose même, et l’autre ne ferait que la signaler.Dans la préparation et le déroulement de ce Conseil, la France a un rôle important à jouer en raison de son poids historique, de son implication dans les questions de défense et de ses « leviers » au sein des instances européennes : Pierre Vimont, Secrétaire Général Exécutif du Service Européen pour l’Action Extérieure, Claude-France Arnould, chef exécutif de l’Agence européenne de défense, général Patrick de Rousiers, Président du Comité Militaire de l’Union européenne.